Pour ceux qui n'aurait pas trop le courage de lire, voici un petit résumé, sinon bonne lecture !
"La pluie tombait dur sur les toits de chaume de Bree ce soir-là, une nuit d'orage habituelle, rien de particulièrement nouveau. L’auberge du Poney Fringant était toujours aussi bondée, les mêmes fermiers plus saouls que les barils de bière étaient soutenus par le même bar centenaire sans quoi ils se seraient affalés dans la poussière, position qu'ils finiront de toute façon par adopter à la fin de la soirée. La routine suivait son cours, lentement et paresseusement.
Mais lorsque la porte de l'auberge s'ouvrit dans un grincement sinistre, faisant pénétrer une brise glaciale dans la salle commune, la routine et tous les gens présents furent réveillés en sursaut, comme si un quelconque soudard les avait bourré de coup de pied. Les conversations moururent, les pintes s'immobilisèrent à mi-chemin des lèvres qu'elles auraient dû atteindre, et tous les regards se tournèrent vers l'individu qui venait de pénétrer dans la pièce, laissant dans son sillage des traînées humides et boueuses.
"Reste-t-il une couchette pour la nuit sous votre toit, noble aubergiste, ainsi qu'un peu de ragoût dans votre chaudron ? Je suis épuisé et affamé et je n'ai point la force de dormir dehors par le temps qu'il fait." dit le nouvel arrivant d'une voix douce et chantante, une voix agréable, qui attire sympathie et camaraderie.
"Mais bien sûr brave voyageur ! Entrez donc et trouvez-vous une chaise, je vous apporte de quoi dîner." répondit l'aubergiste de sa voix forte et bourrue, se hâtant dans la cuisine attenante pour prévenir sa femme qu'il allait falloir rajouter un couvert.
Les discussions reprirent timidement, et ce qui était auparavant une atmosphère bruyante et joyeuse s'était transformée en une symphonie de murmures et de chuchotements. Tous les habitués présents essayant tant bien que mal de deviner l'identité du mystérieux inconnu. Quelques pièces brillèrent même à la lumière des torches tandis qu'elles changeaient de mains, les plus téméraires pariant leur maigre pécule sur divers théories, sans pour autant désigner celui qui sera chargé d'aller s'enquérir de la véritable réponse.
L'aubergiste revint quelques instants plus tard avec une assiette fumante et une grosse chope de la bière brune qu'il brassait lui-même. Déposant devant le voyageur son repas fraîchement élaboré, l'aubergiste s'assit en face de lui, comme il le faisait avec tous les étrangers, pour ne pas qu'ils se sentent trop seul, perdu au milieu de ce qu'il appelait lui-même "sa marmaille tapageuse".
"Allez brave voyageur, mangez ! La bière est offerte par la maison ! Mais ne le dites pas trop fort, sinon ils vont me demander de payer ma tournée." lui dit l'aubergiste en lui adressant un clin d'œil. Puis il poursuivit "Pardonnez ma curiosité, mais quelle raison peut amener un semi homme sur les routes en cette période de l'année et surtout par un temps pareil, on ne peut pas dire que c'est le meilleur moment pour une virée à la campagne."
« Faut-il une raison désormais pour arpenter les routes de nos jours ? Car voyez-vous, je suis un hobbit cartographe, et seul le destin décide des routes contenant mes virées…».
- Feignant...:
- Bon, en résumé je suis un petit hobbit chasseur qui pratique pas mal de RP, buchonne quelques arbres pendant mon temps libre, vide des bancs de poissons quand j'ai un petit creux. Sinon il m'ait arrivé de cartographier les zones des débutants, et je joue pas mal de luth et de la cloche à vache ! Voilà, en résumé...
"La pluie tombait dur sur les toits de chaume de Bree ce soir-là, une nuit d'orage habituelle, rien de particulièrement nouveau. L’auberge du Poney Fringant était toujours aussi bondée, les mêmes fermiers plus saouls que les barils de bière étaient soutenus par le même bar centenaire sans quoi ils se seraient affalés dans la poussière, position qu'ils finiront de toute façon par adopter à la fin de la soirée. La routine suivait son cours, lentement et paresseusement.
Mais lorsque la porte de l'auberge s'ouvrit dans un grincement sinistre, faisant pénétrer une brise glaciale dans la salle commune, la routine et tous les gens présents furent réveillés en sursaut, comme si un quelconque soudard les avait bourré de coup de pied. Les conversations moururent, les pintes s'immobilisèrent à mi-chemin des lèvres qu'elles auraient dû atteindre, et tous les regards se tournèrent vers l'individu qui venait de pénétrer dans la pièce, laissant dans son sillage des traînées humides et boueuses.
"Reste-t-il une couchette pour la nuit sous votre toit, noble aubergiste, ainsi qu'un peu de ragoût dans votre chaudron ? Je suis épuisé et affamé et je n'ai point la force de dormir dehors par le temps qu'il fait." dit le nouvel arrivant d'une voix douce et chantante, une voix agréable, qui attire sympathie et camaraderie.
"Mais bien sûr brave voyageur ! Entrez donc et trouvez-vous une chaise, je vous apporte de quoi dîner." répondit l'aubergiste de sa voix forte et bourrue, se hâtant dans la cuisine attenante pour prévenir sa femme qu'il allait falloir rajouter un couvert.
Les discussions reprirent timidement, et ce qui était auparavant une atmosphère bruyante et joyeuse s'était transformée en une symphonie de murmures et de chuchotements. Tous les habitués présents essayant tant bien que mal de deviner l'identité du mystérieux inconnu. Quelques pièces brillèrent même à la lumière des torches tandis qu'elles changeaient de mains, les plus téméraires pariant leur maigre pécule sur divers théories, sans pour autant désigner celui qui sera chargé d'aller s'enquérir de la véritable réponse.
L'aubergiste revint quelques instants plus tard avec une assiette fumante et une grosse chope de la bière brune qu'il brassait lui-même. Déposant devant le voyageur son repas fraîchement élaboré, l'aubergiste s'assit en face de lui, comme il le faisait avec tous les étrangers, pour ne pas qu'ils se sentent trop seul, perdu au milieu de ce qu'il appelait lui-même "sa marmaille tapageuse".
"Allez brave voyageur, mangez ! La bière est offerte par la maison ! Mais ne le dites pas trop fort, sinon ils vont me demander de payer ma tournée." lui dit l'aubergiste en lui adressant un clin d'œil. Puis il poursuivit "Pardonnez ma curiosité, mais quelle raison peut amener un semi homme sur les routes en cette période de l'année et surtout par un temps pareil, on ne peut pas dire que c'est le meilleur moment pour une virée à la campagne."
« Faut-il une raison désormais pour arpenter les routes de nos jours ? Car voyez-vous, je suis un hobbit cartographe, et seul le destin décide des routes contenant mes virées…».